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C'est ma fille Jasmine comme vous le voyez elle a grandi, elle a plus de 1 an.
01/02/2007 01:57
C'est ma fille en mode respectueuse lol
Commentaire de sassa (07/02/2007 22:02) :
va voir a mayotte ya des plus belle femme
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Commentaire de tonny (17/05/2007 13:50) :
Pour la 1ère fois de ma vie,je suis d'accord avec toi,les plus belles
femmes des Comores sont à Anjouan et il n'y a meme pas match!!!
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c'est le Drapeau de mon pays, l'Union Des Comores. situé dans l'Ocèan indien.
01/02/2007 02:41
Peuplé depuis la seconde milieu de la seconde moitié du premier millénaire, les différentes îles des Comores ont suivit une histoire très voisine sans être pour autant commune. C'est la France, puissance coloniale qui unie administrativement les îles. L'histoire des îles se séparent à nouveaux après 1976, après la formation de l'République fédérale islamique des Comores et le maintien de Mayotte sous administration française.
Le peuplement originel Les premières traces de peuplement datent du VIe siècle et sont probablement des bantous provenant de la côte africaine. Ces premiers habitants mirent en place une organisation politique et sociale proprement africaine. Entre le VIIe et le XIIe siècle on suppose que les Austronésiens qui contribuèrent au peuplement de l’île de Madagascar, sont passés par les Comores, mais ne s’y sont pas établis. nitialement, les villages étaient régi par les doyens des familles les plus influantes qui portaient le titre de mafé, mfaume ou mafani à Anjouan ou Mohéli (Mfalume en kiunguja). Ces deux termes désignent les doyens qui sont les chefs des grandes familles ou des villages. Les mafe laissent la place assez rapidement à des Mabedja qui forment une chefferie dirigeante dans chaque village.
L’islamisation L'islam y apparaît au XIe siècle avec l'arrivée d'une population arabo-persane de Chiraz[1], accompagnés de leurs esclaves et introduire l'architecture et la charpente en construisant mosquée et habitation royale. La première mosquée de pierre fut construite à Mayotte en 1566 dans la ville de Chingoni. L’islamisation s’imposa dans toutes les Comores sur la côte, puis beaucoup plus lentement sur les hauteurs; Par la suite, les alliances politiques et matrimoniales des Arabo-Shiraziens avec les chefs comoriens entraînèrent un changement de l'organisation politique et la création de sultanats. L’organisation sociale de ces pseudo—sultanats n’est pas fondamentalement différente des chefferies côtières du continent. Ces îles formaient avec les sultanats de Zanzibar, Kilwa, Lamou... et les villes de la côte kenyane et tanzanienne une unité de culture swahilie prospère et de renommée, vivant du commerce d'esclaves, de l'ivoire et d'autres marchandises africaines destinées aux marchés orientaux.
En 1506, une flotte d'arabo-Shirazi commandée par Mohamed ben Haïssa aborde l’archipel et en bouleverse la vie économique et sociale. Dès lors, des manuscrits en caractères arabes, notent l'arabe, le comorien ou le swahili, et permettent de reconstituer les généalogies des clans et des sultanats, au demeurant particulièrement complexes. Par la subjugation et par le jeux d'alliances, ils contribuèrent ainsi à l'établissement de nouveaux lignages matrimoniaux, surtout à la Grande Comore et à l’île d’Anjouan. Durant cette époque, le pouvoir est aux mains des nombreux sultans locaux dit batailleur[2]. Finalement Anjouan, qu'on dit la plus arabe des îles, fini par prendre controle, peu ou prou, de Mohéli.
structure sociale Les systèmes issues de cette union superpose des coutumes africaines et arabo-musulmanes n'étaient pas à même de fournir au détenteur du pouvoir les moyen de controler de grande surface. Ainsi à la Grande Comore, existera plusieurs sultanats dirigés par différents sultans qui accordent une importance honorifique à l’un d’entre eux, le sultan Tibé. A Anjouan, trois lignages royaux implantés dans les trois principales villes (Mutsamudu, Ouani et Domoni) se partagent le pouvoir.
Dans un tel système, doit tenir compte des avis d’un Grand Conseil (Mandjelissa) qui réunit les principaux grands notables. Le sultan est aussi secondé par des vizirs qui sont des relais du pouvoir dans certaines régions. On trouve aussi sur le plan local d’autres agents administratifs: naïb (assimilables à des chefs de canton), chef de la police, collecteurs d’impôts, chefs de village (nommés par le sultan) et chefs religieux. C’est de cette époque que datent les documents écrits et les manuscrits en langue arabe, en swahili ou en comorien, le tout présenté en alphabet arabe.
De 1946 à l'indépendance Les Comores obtinrent en 1946 une autonomie administrative vis à vis de Madagascar et Dzaoudzi fut choisie comme capitale du nouveau territoire. À partir de 1946, les Comores furent représentées directement au Parlement français pour la première fois en tant que tel et acquiert une certaine autonomie administrative grâce notamment à l'action de au député Said Mohamed Cheikh. Les Comores obtiennent également un Conseiller de la République (Jacques Grimaldi), et un Conseiller à l'Union française (Georges Boussenot). Un Conseil général, assemblée locale, est mis en place dans l'archipel pour représenter la population et discuter des problèmes locaux, mais le véritable pouvoir est toujours détenu par l'administrateur supérieur de la République Française. Le 15 juin 1953, plusieurs politiques comoriens osent sans y croire faire une déclaration commune demandant l’indépendance. En 1958, l’Assemblée territoriale des Comores choisit le statut de Territoires d'outre-mer, et en application de la loi-cadre, on crée le Conseil de gouvernement, organe exécutif toujours présidé par l'administrateur supérieur, entouré par des ministres désignés par le Conseil régional. Le poste de vice-président du Conseil de gouvernement, confié à Mohamed Ahmed est symbolique. Certains politiciens reprochent à la France de ne pas traité les Comores comme les autres TOM.
En 1956, en application de la loi-cadre “Deferre“, le Conseil de gouvernement, un organe exécutif, est créé. Présidé par l'administrateur supérieur avec des ministres désignés par le Conseil régional, et un poste de vice-président confié à Mohamed Ahmed purement symbolique.
En 1961, les îles obtinnent une autonomie interne très importante. Saïd Mohammed Cheikh devient Président du Conseil de Gouvernement, le premier personnage du Territoire, avant le haut-commissaire de la République. C'est à un autochtone, premier élu sur une liste présentée à l'assemblée locale de 31 membres, à qui revient la charge de présider le Conseil de gouvernement. Si l'éducation est très lagement négligée depuis le début de la colonisation, on ouvre cependant le premier lycée en 1963 à Moroni; un second suivra à Mutsamudu en 1970. Il s'efforce de faire élargir les compétences territoriales, surtout à partir de 1968. Cette période d'autonomie est marquée par un certain développement économique et social. Le réseau routier commence à être bitumé et les politiciens les plus autonomistes, après les événement de 1968 réclament l'indépendance ce qui aboutit au "Accords de juin 1973". En 1966, Saïd Mohamed Cheick fera transférer la capitale des Comores de Dzaoudzi à Moroni, ce qui provoquera la méfiance des élus de Mayotte envers les indépendantistes.
La déclaration d'indépendance Après les indépendances africaine des années 1960 des pays africains, un certain nombre d'intellectuels, grands Comoriens, pour la plupart, largement influencés par les idées zanzibarites, commencèrent à réclamer l'indépendance. D'un commun accord, dans un objectif d'indépendance concerté, la France proposa un référendum en 1973. En décembre 1974, Mayotte ne s'exprime pas comme les trois autres îles (à 65% pour le maintien contre 95% contre le maintien[5]. Plusieurs explications sont données pour expliquer ce choix :
- La craintes des anjouanais de se sentir marginalisé dans un système politique dominé par la Grande Comore
- La crainte de voir le droit des femmes diminuées, épisode des mamies chatouilleuses
- La population est à près de 50% d'orgine malgache, utilisant le malgache comme langue première, et pour cette population relativement moins islamisé (pratique animiste sakalave).
La France quand a elle, estime que stratégiquement important de garder pied sur une de ces l'îles pour controler le canal du Mozambique. Une unité de la légion étrangère continu a y être stationnée.
Devant la volonté de la France de traité Mayotte d'une façon particulière, l'indépendance fut déclarée unilatéralement par la République Fédérale Islamique des Comores, le 6 juillet 1975, par la voix de l'anjouanais Ahmed Abdallah. En 1976 un autre référendum confirme le vote de Mayotte. Les périodes historiques suivantes qui divergent d'une façon importante, sont relatées dans l'histoire des Comores et l'Histoire de Mayotte.
Commentaire de tonny (17/05/2007 14:01) :
Ben je suis content de voir que tu n'es pas si séparatiste que ça,en
tout cas qd tu trouves à l'étranger!
Tu as l'air d'etre un Homme bien ms tu as qd meme un gros
défaut:t'es un grand défenseur de Mohamed Bacar qui n'a apporté
que des crises à notre ile.
Je respecte plus ton père qui se bat politiquement pr l'unité des
Comores car on peut etre Anjouanais sans etre un séparatiste car le
séparatisme ne mènera nul part Anjouan car Anjouan a besoin des Comores et
les Comores ont besoin d'Anjouan pr se développer!
Assez de la politique politicienne à Anjouan où un clan,une famile,une
ville domine les autres!
Il faut l'unité des Anjouanais et l'unité des Comoriens et
Mohamed Bacar n'est pas l'Homme du rassemblement ms l'Homme
d'un clan!
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Fier d'etre musulman.Et que le bon DIEU nous donne une longue vie ainsi qu'à ma famille et nous guide vers le droit chemin incha allah.
01/02/2007 03:09
L'Islam est une religion universelle et monothéiste
L'Islam, révélation divine est une religion monothéiste de vérité spirituelle, de lumière intérieure, d'amour, de fraternité humaine, de justice sociale, ouverte à toutes les races et à tous les peuples sans aucune distinction, aux hommes et aux femmes de toutes les contrées et de tous les siècles, quelque soit le degré de leur savoir et l'importance de leur fortune. Il implique la foi en un Dieu unique et absolu et en la mission de Son envoyé, Mahomet (Mouhammad, Paix et Bénédiction d'Allah soient sur lui) qu'Il a choisi pour la transmission de son message (Qour'aane). Ce message universel et permanent de liberté, d'égalité, de fraternité, de charité, de paix, de monothéisme sous la forme la plus pure, exige à priori de l'homme sa soumission inconditionnelle à Dieu et son abandon total à Sa volonté. Tel est d'ailleurs le sens étymologique du mot Islam. Il se résume en peu de mots : Il n'y a qu'un Dieu ! Mouhammad (Paix et Bénédiction d'Allah soient sur lui), est un envoyé de Dieu.
L'unicité absolue d'Allah dans l'Islam
Là encore, l'Islam a sa marque propre : il croit en l'unicité absolue d'Allah ; il prescrit une façon de prier et d'adorer qui n'admet ni image, ni symbole (qu'Il considère comme des traces de l'idolâtrie). Allah est non seulement transcendant et immatériel, au-delà de toute perception physique, mais Il est aussi omniprésent. Les Références coraniques : Votre Dieu est unique. Point de divinité à part Lui. Il est le Clément, Le Miséricordieux. (Sourate 2-La Vache-163) S'adressant à Moise, que le salut soit sur lui, il lui dit : C'est Moi, Dieu ! Point d'autre que Moi ! Adore-MOI ! (Sourate 20-Taha-14) Un seul culte Pour le musulman, Dieu est universel, il est le Créateur de tous les humains, le Seul et l'Unique, point de dieu en dehors de Lui. Il voue à Lui toute l'adoration imposée par Lui à Ses créatures et ne la voue qu'à Lui seul. C'est à Lui qu'il adresse ses demandes, à Lui qui implore secours et qu'il formule ses souhaits. Toutes ses actions occultes sont faites à Son attention, telles que la crainte, le repentir, l'amour, la vénération et la confiance, ainsi que toutes ses actions apparentes, telles que la prière, le jeûne, l'aumône, le pélerinage et la guerre sainte.
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L'islam est bâti sur cinq fondements:
1- Attester qu'il n'y de Dieu qu'Allah et que Mohammed est son Prophète, 2- La prière 3- L'aumône légale (Zakat) 4- Le pèlerinage 5- Le jeûne du mois du Ramadan
-2 La prière
IL est un devoir pour tout musulman d'accomplir la prière, Dieu l'a recommandé dans Son Livre. Il dit: La prière est de stricte obligation pour les croyants et doit se faire aux heures prescrites. La prière purifie l'âme et rend l'homme digne de s'adresser à Dieu ici-bas et d'être prés de Lui dans l'autre monde. en plus la prière interdit à celui qui l'accomplit tout acte immoral et blâmable. Dieu dit: Accomplis la prière, car elle empêche de commettre les turpitudes et les actes blâmables. (Sourate 29-L'Araignée-45) Il existe 5 prières dans la journée : La prière du Dhohr ( de midi) La prière d'El-Asr ( de l'après-midi) La prière du Maghreb (après le coucher du soleil) La prière de l'Icha (1 heure 40 minutes environ après le Maghreb) La prière du Sob'h (du matin) Le prophète (S.B sur le Lui) dit : Dieu a institué aux gens Cinq prières obligatoires. Quinconque les accomplit sans rien en négliger par indifférence, Dieu lui promet le Paradis. Mais celui qui les néglige, Dieu ne lui promet rien, Il peut le punir ou lui pardonner selon Sa volonté. (Ahmed et autres) Comment accomplir la prière : A l'heure de la prière, le musulman doit être dans un état de pureté, en direction de la Ka'ba, nudité couverte. Il annonce la prière par "l'Ikama", lève les bras à la hauteur des épaules, avec l'intention d'accomplir la prière et dit: "Allaho Akbar" (Dieu est grand). Il met les mains sur la poitrine, la droite sur la gauche. Il commence sa prière par dire en secret: "Bismillah Errahmen Errahim" (au nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux). Il récite la Fatiha en disant à la fin: "AMEN !" Ensuite il récite une surate ou quelques versets. Puis il lève les bras de nouveau à hauteur des épaules et s'incline en disant: "Allaho Akbar". Ses mains emboîtent ses genoux, sa colonne vertébrale bien droite, la tête à la hauteur du dos, ni levée ni penchée. Dans cette position il dit 3 fois "Sobhana Rabbial Adim"(Gloire à Dieu le Grand!) il se relève de nouveau en disant: "Samiallaho Liman Hamidaho" (Dieu entend celui qui Le loue). Quand il se tient droit, il dit: "Rabbana Lakal Hamd" (Seigneur à toi la louange comble, agréable et infinie). Ensuite il se prosterne en disant: "Allaho Akbar". Sept parties du corps touchent le sol : le visage (front et nez), les paumes des mains, les deux genoux et les deux pieds. Dans cette position, il dit trois fois: "Soub-hâna Rabbyya-a-alâ" (gloire à Dieu, le Trés Haut). A ce moment il est souhaitable de faire ses voeux. Ensuite il s'assoit en disant: "Allaho Akbar". Il repose son postérieur sur le pied gauche, le pied droit étant relevé sur les orteils. Dans cette attitude, il prie en disant: "Seigneur pardonne-moi, accorde moi Ta mésiricorde, mets-moi dans le droit chemin et pourvois-moi". Puis il se prosterne de nouveau, comme il a été déjà indiqué et se relève pour exécuter le 2e rak'a identique à la première. Ceci fait, il s'assoit pour Tachahoud. Si la prière se compose de 2 rak'as, comme le Sobh, il récite le Tachaoud, adresse le salut au Prophète (S.B sur Lui), et termine sa prière par le salut final: "Assalamo Alékom Wa Rahmatollah" (A vous le salut et la miséricorde de Dieu) en tournant sa tête une fois à droite et une fois à gauche. Si la prière se compose de plus de 2 rak'as, il se lève alors après Tachahoud en disant: "Allaho Akbar" en levant les bras à la hauteur des épaules. Il achève sa prière comme auparavant en récitant uniquement la Fatiha. Quand il termine sa prière, il s'assied pour accomplir Tachahoud, adresse le salut au Prophète, implore la protection de Dieu. Il termine sa prière par le salut final à haute voix en tournant sa tête à droite puis à gauche.
- 3 La Zakat (l'aumône légale)
C'est une obligation pour tout musulman qui possède un niveau imposable. Dieu en a institué l'obligation dans Son Livre en disant: Prélève sur leurs biens une aumône pour les purifier et les rendre meilleurs. (Sorate 9-Le repentir-103). Croyants! Sur les Biens que vous possédez et sur les fruits du sol, suscités par Nous à votre usage, réservez le meilleur aux aumônes. (Sorate 67-Celui qui s'enveloppe-20) Le but de cette aumône: C'est de purifier l'âme humaine de l'avarice, de l'avidité et de la convoitise. Secourir les pauvres et pourvoir aux besoins des nécessiteux et des déshérités. Instaurer les oeuvres d'utilité publique. Limiter l'accumulation des richesses chez les riches. Celui qui conteste la "zakat" est un hérétique, mais celui qui la reconnaît et ne s'en acquitte pas par avarice, on la lui prend de force et on le blâme. S'il refuse et recourt aux armes, on le combat, jusqu'à ce qu'il se soumette à la loi de Dieu.
- 4 Le pèlerinage
 Le pèlerinage est une obligation pour tout musulman ayant les moyens de l'accomplir, Dieu dit: Dieu a prescrit aux hommes, par déférence envers lui, de se rendre en pèlerinage, pour quiconque en a les moyens. (Sourate 2-la Vache-97).
Le Prophète (S.B sur lui) dit: Le pélerinage est prescrit une fois dans la vie. Qui l'accomplit plus d'une fois aura fait une acte surérogatoire (Abou Daoud & Ahmed). Mais il est souhaitable de l'accomplir une fois tous les 5 ans. Dans un Hadith, à thème divin, le prohète (S.B sur lui) rapporte que Dieu dit:Il est bien défavorisé celui à qui j'ai accordé un corps sain et une situation heureuse qui laisse passer cinq ans sans me rendre visite. (Ibnou Hibbène). Les conditions obligatoires: Etre musulman (un mécréant n'a pas à les accomplir, ni à accomplir aucun devoir religieux, car la foi est la condition requise pour tout oeuvre valable et agréée. Jouir de ses facultés mentales. Un fou n'a pas d'obligation à remplir. Etre majeur: un enfant n'a pas de responsabilité à assumer. Le Prophète (S.B sur lui) l'a bien signalé Posséder les moyens de l'accomplir: provisions et monture. Dieu dit:...le pèlerinage est prescrit à celui qui en a les moyens.
- 5 Le jeûne du mois du Ramadan
Nous allons voir dans cette partie : Les avantages du jeûne les règles fondamentales du jeûne. Jeûner en arabe signifie s'abstenir, se retenir de... Appliqué à la religion, jeûner a pris le sens de renoncer, par piété, de boire, de manger, d'avoir des relations sexuelles et à tout ce qui est considéré comme étant susceptible de rompre le jeûne, depuis l'apparition de l'aube jusqu'au coucher du soleil. Le troisième devoir religieux d'un musulman est le jeûne pendant tout un mois chaque année. Cette obligation débute à la vue du croissant de la nouvelle lune du mois de Ramadan (9ème mois) et prend fin à sa vue, le mois suivant. Le mois comporte ainsi 29 ou 30 jours. Il incombe à tout musulman, homme ou femme, doué de raison, capable et physiquement en état de l'accomplir. En sont dispensés les enfants impubères, et les déséquilibrés. Peuvent en reporter leur accomplissement à une date à leur convenance, les malades, les femmes en couches ou ayant leurs menstrues, celles qui sont enceintes ou qui allaitent et les voyageurs Le jeûne commence peu avant l'aube et prend fin au coucher du soleil. Il exclut toute nourriture, toute boisson, le tabac, etc Le fidèle après avoir accompli normalement le jeûne doit, au crépuscule, le rompre en prenant quelque chose de léger (la tradition conseille quelques dattes) avant de s'acquitter de la prière du crépuscule et dîner ensuite. Dieu a dit : Croyants! je jeûne vous est prescrit, comme il l'avait été aux confessions antérieures. Ainsi atteindrez-vous à la piété. Les Avantages du jeûne: Avantages spirituels: Le jeûne exerce l'homme à l'endurance, fortifie sa volonté, lui enseigne l'autodiscipline et lui en facilite l'application; il a été crée en lui la crainte de Dieu et la nourrit, et surtout la piété qui est le fondement du jeûne. Le jeûne, discipline spirituelle, doit être accompli dans un esprit d'obéissance à Dieu et de reconnaissance envers Lui. N'empêche qu'on en tire aussi les avantages matériels concernant l'hygiène, l’entraînement militaire, le développement de la volonté. C'est un mythe de dire que le jeûne dans le sens islamique de la privation de manger et de boire, est contraire aux besoins de la santé humaine. Avantages physiques: Même les minerais ont besoin de jeûne : les moteurs et les machines doivent s'arrêter après quelques heures de marche, et ce repos leur redonne leur force. En effet, comme tous les organes animaux, l'appareil digestif aussi a besoin de repos. Jeûner est le seul moyen concevable pour cela. Le jeûne assainit les intestins, régénère l'estomac, débarrasse le corps des produits résiduels et soulage l'embonpoint. Le Prophète (S.B sur lui) a dit : Jeûnez, vous acquérrez la santé! (Ibnou Sunny) Mérites du Ramadan: Le mois du Ramadan a des mérites exceptionnels, confirmés par les hadith, et dépassant les autres mois. Le Prophète (S.B sur lui) dit:- Les cinq prières rituelles, la prière du vendredi jusqu'au vendredi suivant, le jeûne du mois de Ramadan jusqu'au Ramadan suivant, tous ont un effet absolutoire si on évite les graves péchés. (Moslim) - Qui jeûne le mois de Ramadan avec foi en comptant sur la récompense divine, ses péchés lui seront pardonnés. (B. & M.) - J'ai vu en songe un homme de ma communauté, haletant de soif. Toutes les fois qu'il se présente pour boire à un bassin, il est chassé. Son jeûne du Ramadan est venu étancher sa soif.(Tabarany) Règles fondamentales du jeûne : Actes autorisés pendant le jeûne : - De se frotter les dents avec l'"Arak" - De se rafraîchir avec de l'eau froide quand il fait chaud, soit en baignant, soit en s'aspergeant - De voyager, pendant le Ramadan, dans un but exempt de péché, même en sachant que ce voyage nécessiterait la rupture du jeûne. - De boire, de manger et d'avoir des rapports sexuels pendant les nuits du Ramadan. - De se faire soigner par toute sorte de médicament licite, à condition qu'il n'atteigne pas l'estomac. - De mâcher un aliment pour un bébé qui ne peut s'en passer et qui ne trouve pas autre une autre personne pour le servir. Néanmoins, il faut se garder d'en avaler. - De se parfumer ou encenser ses habits. Tous ces actes sont autorisés car rien n'a été signalé pour les déconseiller. Actes excusables: - D'avaler sa salive, même abondante. - D'avaler un insecte malgré soi, et sans le vouloir. - De subir la poussière de la rue. - De se trouver le matin en état de "janaba" ( à la suite d'un rapport sexuel), même si on reste dans cet état toute la journée. - De vomir involontairement des aliments ou des humeurs, qu'une fois à la bouche, de n'en rien détourner à l'estomac. - De boire et de manger par mégarde ou par oubli, le Prophète (S.B sur lui) a dit: Quand celui qui jeûne boit ou mange par mégarde, qu'il poursuive son jeûne. C'est Dieu qui l'a nourri et qui lui a donné à boire. (B.&M.) Qui rompt son jeûne par mégarde, pendant le Ramadan, n'a pas à le refaire, ni à subir d'expiation (Darakatni). - D'émettre du sperme pendant le sommeil. un hadith stipule que la responsabilité de l'homme endormi est dégagée. Actes annulant le jeûne: - L'arrivée à l'estomac d'un liquide par le nez, l'oeil ou l'oreille, par l'anus ou par le sexe de la femme (lavement) - Tout ce qui parvient à l'estomac à la suite d'un rinçage excessif de la bouche, d'une aspiration de l'eau pendant les ablutions - L'émission de sperme provoquée par le regard continu, ou l'imagination, par le baiser ou le toucher. - Le vomissement volontaire. - Le jeûne est annulé en cas de contrainte à manger, à boire, ou à accomplir l'acte sexuel. - Boire et manger en pensant qu'il fait nuit alors qu'il fait encore jour. - Boire et manger par inadvertance, puis continuer à le faire, pensant que le jeûne étant rompu, on n'est plus obligé de continuer. - Avaler un solide, non nourrissant, tel qu'une perle ou ficelle. - L'intention de rompre le jeûne, même sans boire, ni manger. Actes à éviter pendant le jeûne: (Tout en étant autorisés, ils peuvent conduire à l'annulation du jeûne) - D'exagérer le rinçage de la bouche et l'aspiration de l'eau par le nez au moment des ablutions. -D'embrasser (avec un désir charnel), c'est un excitant capable de rompre le jeûne par l'émission du liquide prostatique ou entraîner au rapport sexuel. D'évoquer des images concernant la sexualité. -De mâcher du chewing-gum de peur de laisser glisser le débris dans l'estomac. - De goûter une sauce. - D'enduire les paupières de Kohol le matin. L'après-midi, il n'est pas décommandé. - De pratiquer une saignée, de crainte de perdre ses forces et finir par rompre le jeûne.
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Le statut spirituel
Le Coran énonce clairement que les hommes et les femmes sont de même nature spirituelle et humaine. Les deux ont reçu le “souffle divin” qui leur a donné de la dignité et a fait d’eux les gérants de Dieu sur la terre. La femme n’est pas blâmée pour la “chute de l’homme”. La grossesse et l’accouchement sont donnés comme des raisons supplémentaires pour aimer et apprécier les femmes et non comme punition pour “avoir mangé de l’arbre interdit”. L’homme et la femme ont des devoirs et des responsabilités comparables et les deux font face aux conséquences pour leurs décisions et de leurs actions morales. Nulle part le Coran ne mentionne que les “hommes sont supérieurs aux femmes”, à moins que le texte du Coran n’ait été pauvrement traduit en français. Le Coran indique clairement que la seule base de supériorité est la piété et la droiture, non le genre, la race, la couleur ou la richesse.
Le statut économique
La loi islamique sauvegarde les droits des femmes avant et après le mariage. En fait, la femme reçoit une plus grande sécurité financière que l’homme. Elle a droit au plein montant de son cadeau de mariage. Elle a le droit de garder toutes les propriétés présentes ou futures et un revenu pour sa propre sécurité. Pendant ce temps, elle a droit à toute l’aide financière avant, pendant et après le mariage, sans égard à sa richesse personnelle. Les droits additionnels incluent l’aide pendant la “période d’attente” en cas de divorce et l’aide pour l’enfant. Cette aide garantie à toutes les étapes de sa vie, constitue des avantages financiers sur les hommes, équilibrés partiellement par la moindre part d’héritage qui lui revient. La femme dispose seule de l’usufruit de son travail éventuel, tandis que l’homme a le devoir d’entretenir et subvenir aux multiples besoins de sa famille.
Le statut social
1. En tant que fille: Le Coran blâme l’attitude de certains parents qui tendent à favoriser leurs fils. Il prescrit le devoir d’aider et de montrer de la gentillesse et de la justice envers les filles. L’éducation des filles n’est pas seulement un droit mais un devoir pour tous les musulmans, hommes et femmes. Une fille a le droit d’accepter ou de rejeter des propositions de mariage. Le mariage forcé sans le consentement mutuel est invalide selon les enseignements du Prophète Mohammad (Paix et Bénédiction sur lui) .
2. En tant qu’épouse: L’opinion de l’Islam sur le mariage est exprimée dans le verset suivant du Coran: “Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent” (Sourate 30, verset 21)
Le statut légal et politique
Les hommes et les femmes sont égaux devant la loi et les tribunaux. Les changements dans le nombre de témoins, hommes et femmes, dans les tribunaux ne figurent dans le Coran que dans le contexte des contrats financiers. Le but est d’établir l’exactitude du témoignage, dans un cadre donné et auquel les femmes peuvent ne pas avoir été exposées ou être expérimentées en matières commerciales. Le juge peut cependant décider d’assurer la justice sans égard au sexe des témoins.
La Femme et le mariage
La norme du mariage dans l’Islam est la monogamie. Cependant, comme plusieurs peuples et religions incluant les prophètes de la Bible, l’Islam a permis la polygamie, déjà existante (polygynie), mais il la règule et la restreint. Elle n’est ni exigée ni encouragée. L’esprit de la loi est de prendre des mesures concernant les événements imprévus des personnes et de la collectivité (par exemple, les déséquilibres créés par les guerres) et de fournir une solution morale, pratique et humaine aux veuves et aux orphelins. Ceci peut expliquer pourquoi le verset qui règle la polygamie a été révélé après la guerre d’Ohod, dans laquelle des douzaines de musulmans furent tués, laissant derrière eux des veuves et des orphelins dans le besoin. Tous les intéressés impliqués dans un mariage polygame ont des options. Une femme ne peut être forcée à devenir une seconde épouse. La première femme qui n’accepte pas une situation de polygamie a le droit de demander le divorce. La responsabilité du mari sur l’entretien, la protection et la direction de la famille, en général, dans l’esprit de la consultation et de la gentillesse, est la signification du terme coranique “Qawwamoune”(Sourate 4 v.34). Ce terme est souvent mal traduit par “qui a de l’autorité sur les femmes”. De la même façon Dieu a doté les hommes et les femmes de qualités physiologiques et autres, différentes et complémentaires mais également importantes. Ceci mène à certains rôles et devoirs différents mais complémentaires à l’intérieur de la cellule familiale. C’est ce à quoi le Coran réfère par le terme “(fad’)darâdja” (Sourate 2 v.228), souvent mal traduit comme “parce que Dieu l’a fait supérieur à l’autre”. Cette différenciation se retrouve strictement dans les rôles, non dans le statut ou l’honneur. Dans le cas d’une dispute familiale, le Coran exhorte le mari à traiter sa femme gentiment et à ne pas négliger ses côtés positifs. Si le problème est relié au comportement de la femme, son mari peut la rappeler à la raison. Dans la plupart des cas, cette mesure suffit. Dans les cas où le problème continue, le mari peut exprimer son mécontentement d’une autre façon pacifique, soit en dormant dans un lit séparé du sien. Cependant, il y a des cas où la femme persiste à maltraiter de façon délibérée son mari et néglige ses obligations conjugales. Au lieu du divorce, le mari peut avoir recours à une autre mesure qui peut sauver son mariage, du moins dans certains cas. Cette mesure est décrite plus précisément comme étant une petite tape sur le corps, mais jamais sur le visage, ce qui est plus une mesure symbolique que punitive. La loi islamique a bien précisé qu’avoir recours à cette mesure extrême et exceptionnelle considérée comme le moindre de deux maux (l’autre étant le divorce), est sujet à des restrictions explicites. Elle ne doit pas être sévère au point de causer des blessures ou même de laisser une marque sur le corps. Les lois américaines ou européennes contemporaines ne considèrent pas une tape légère qui ne laisse aucune marque sur le corps comme un abus physique. C’est la même définition qu’ont donnée les juristes musulmans il y a plus de 1400 ans. Dans plusieurs paroles, le Prophète a découragé son utilisation, aussi légère soit-elle. “Ne frappez jamais les servantes de Dieu (les femmes)” a dit le Prophète, qui a démontré cette noblesse dans sa propre vie conjugale.
Il s’ensuit que lorsque cette question est ramenée dans son contexte, elle n’a rien à voir au fait de sanctionner “l’abus” ou “la violence conjugale” qui est, malheureusement, répandu dans un pays tel que les États-Unis où toutes les 10 secondes une femme est battue et chaque jour quatre femmes sont tuées par leurs conjoints, ce qui fait de la violence conjugale la cause du tiers environ des meurtres commis sur les femmes aux États-Unis (1993).
Dans tous les cas, les musulmans qui passent outre les enseignements de leur foi et commettent des excès doivent être condamnés; comme tous les autres transgresseurs, sans distinction de religions. L’affirmation erronée que les excès commis par certains musulmans peuvent être mentionnés dans un des versets parmi les 114 sourates du Coran n’est pas plus vraie que d’affirmer que la violence qui sévit contre les femmes aux États-Unis peut être retrouvée dans la Bible. En répétant l’exhortation coranique sur le bon traitement envers les femmes, le Prophète Mohammad (Paix et Bénédiction sur lui) a clairement énoncé que “les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs (dans leur conduite) envers leur famille et je suis le meilleur d’entre vous (dans ma conduite) envers ma famille”. C’est l’exemple à suivre pour le croyant sincère qui veut dépasser les paroles, et le simple habit extérieur de piété, pour puiser directement ses vertus dans le Coran et la Sounnah (habitudes du prophète). Les formes de dissolution du mariage incluent forcément un accord mutuel entre le mari et la femme, si l’on se réfère à la sourate “Talâk” (divorce) du Coran (S.65:1-7 ou S.2:226/30, qui spécifient les différentes étapes d’un divorce); de même dans les hadiths. Le divorce est à l’initiative du mari, en général, mais peut-être l’initiative de la femme dans certains cas, voire, la décision d’un conseil sur l’initiative de la femme. Il est notable que malgré cette facilité apparente, les taux de divorces dans les sociétés musulmanes sont très inférieurs à ceux du monde occidental, car il faut situer cette “facilité” dans la perspective de la cohérence de l’ensemble du message coranique. La garde des enfants après le divorce, selon la loi islamique, est le droit de la mère jusqu’à ce que l’enfant soit âgé d’environ sept ans, moment où l’enfant peut choisir le parent avec lequel il veut vivre. Toutefois, le principe directeur qui prévaut réside dans le bien-être de l’enfant et le droit des deux parents à avoir accès à leurs enfants.
3. En tant que mère: Le Coran prescrit la gentillesse envers les parents, particulièrement les mères. Les musulmans apprennent que “le Paradis se trouve aux pieds des mères”.
4. En tant que soeur dans la foi: Le Prophète a recommandé la gentillesse, l’attention et le respect des femmes en général car elles sont les soeurs des hommes.
5. Au sujet de la modestie et des interactions sociales: Il y a aujourd’hui un large fossé entre l’idéal (loi islamique) et la réalité (pratiques culturelles). L’extrémisme, dans un sens ou dans un autre, est étranger à l’esprit de la loi islamique et peut refléter de simples pratiques culturelles. Les musulmans croient en une ligne directrice d’essence divine pour la modestie et la vertu se traduisant dans l’habillement et le comportement des hommes et des femmes. Le retrait de la femme dans certaines cultures est étranger à la pratique du Prophète. Des interprétations excessivement strictes faites par des savants dans certaines cultures minoritaires conservatrices (par exemple, les restrictions quant à l’interdiction pour les femmes de conduire) sont le reflet de l’influence de ces cultures conservatrices et non une compréhension généralement acceptée de la grande majorité des savants musulmans à travers le monde. L’Islam n’interdit pas la mixité sous deux conditions principales:
a) observation d’un devoir de réserve et de pudeur mutuel;
b) ils ne doivent pas être seuls (tête à tête). L’Islam n’interdit pas la liberté, mais le libertinage, et ce, à l’homme et à la femme. Si la femme a le devoir de pudeur devant l’homme, ainsi de même, l’homme a la même obligation face à la femme. Point de discrimination.
CONCLUSION
L’Islam a été la première culture à admettre la totale indépendance financière de la femme, à lui accorder des droits codifiés, que même certaines parties de l’Europe d’aujourd’hui leur refuse (le vote par ex.). Les musulmanes constituent en gros la moitié de la Oummah. Dieu, dans sa Sagesse, n’a pas attendu que d’autres dessinent pour elles les plans de leur libération. En Islam, chacun est responsable de ses actes et devra en répondre devant Dieu. Les musulmans font acte d’Islam non par foi aveugle, mais par acceptation de la cohérence de l’ensemble des principes de Dieu dans le Coran, et l’exemple du prophète, car il faut restituer le problème dans ce cadre et nul autre.
“Le plus parfait des croyants est celui qui a la meilleure conduite . Les meilleurs d’entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leurs femmes“ Hadith (Tirmizi)
Ainsi parla le prophète de Dieu, Mohammad (Paix et Bénédiction Sur Lui) .
Que le BON DIEU nous garde, nous protège,nous donne une longue et meilleur vie et nous guide vers le droit chemin incha allah.Mon reve le plus cher c'est vivre dans la réligion et mourrir dans la réligion ainsi que mes parents,ma femme, mes enfants, mes petits frères et tous les musulmans.Que le bon Dieu exhausse ce Douan incha allah.mes chers frères musulmans,surtout comoriens.n'oublier pas que la vie n'est qu'un jeu et on ne fait que passer ne l'oublions pas.on ne fait que passer.Alors s'il vous plait craignons le bon DIEU.Ne cessons pas de faire que le bien comme notre Seigneur nous l'a recommandé.merci à vous.Que le bon Dieu nous pardonne et nous guide vers le droit chemin incha allah.Saisissons la chance que le bon DIEU nous a donné avant que ça soit trop tard.
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Vous vous en souvenez bien sur des attentats du 11 Septembre .
12/02/2007 22:38
Je voudrais juste savoir votre avis pour ces attentats et sur le terrorisme.Pensez vous que c'est normal que des musulmans se sacrifient pour leur religion ou pour leur pays?pourront-on les qualifiés comme des terroristes comme leur affligent les occidentaux ou bien ils sont des libérateurs? je m'adresse surtout à mes frères de l'archipel des comores et mes frères musulmans du monde entier.Toute personne qui n'est pas musulman je le prie de s'abstenir à ce sujet. Merci à vous. ce n'est pas une question de descrimination mais on sait deja votre position.Je souhaite que vos avis seront fructueux incha allah.
Commentaire de salie85 (27/04/2007 13:24) :
personne ne peux oublier 1 moment pareil
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Commentaire de fatahou (04/05/2007 15:47) :
pour moi c'est des terroristes et en aucun cas je ne vois en eux des
liberateurs.Au nom de quoi serait-il des liberateurs .A-T-ON le droit de
tuer des gens betements comme , je precise qu'ils soient noirs ,
blancs , jaunes , verts , musulmans , pas musulmans , peut importe .Ce
qu'ils ont fait n'a fait qu'accenctuer le ressentiment , la
haine qu'ont certaines personnes sur notre religion et ca je ne peux
le cautionner
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Ce sont des amies de ma femme avec mon bébé Jasmine
21/04/2007 21:06
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